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15/01/2013

Que deviennent nos héros ?

           Romain Teullac d’abord, le héros de La Traversée de la Penfeld.

« Jeune homme de bonne famille » éduqué dans la foi chrétienne, comme cela était courant dans la première moitié du XXème siècle, Romain avait un caractère naïf doublé d’une grande curiosité. C’est donc tout naturellement qu’il s’émerveille devant ce qu’il découvre d’un monde nouveau pour lui, maritime et militaire. Cela ne l’empêche pas de considérer son environnement avec un regard critique, toujours bienveillant.

En sauvant deux camarades de la noyade, il a mis sa vie en danger et subi un grave accident qui le conduit à l’hôpital pour des mois. Cette épreuve le conduit à remettre en cause tous ses projets et ses croyances mêmes, l’obligeant à entrer dans l’âge adulte. Son voisin de chambre a été accidenté le soir de Noël et restera paraplégique. Ils sympathisent.

À sa sortie de l’hôpital, il s’installe à Recouvrance, le quartier populaire de Brest qui se trouve de l’autre côté de la Penfeld, la rivière qui traverse Brest, dans une maison qui accueille aussi son infortuné compagnon. Il trouve la force de construire une nouvelle vie débarrassée de ses conditionnements. Ses talents sont reconnus et des opportunités lui sont offertes de poursuivre son activité professionnelle dans la Marine nationale. Il rencontre des personnes de grande qualité grâce auxquelles il bâtit une nouvelle conception de la vie.

 

Carole et Olivier, les deux héros de La Dame de Marvejols, vont jusqu’au bout de leurs macabres découvertes et de la réhabilitation de ladite dame de Marvejols. Mais l’épreuve a été trop forte et Olivier prend une décision qui l’éloigne pendant de longues années.

Carole se retrouve seule et tombe dans la dépression. Par une forme de miracle, elle s’en sort et décide de se consacrer à l’aide aux plus infortunés. Cela la conduira en Indonésie d’abord où elle initie la construction d’un dispensaire qui prend de l’ampleur. Elle tombe dans les griffes d’un homme puissant qui veut l’asservir. Là encore, une sorte de miracle lui permet de sortir d’une situation désespérée mais elle est obligée de fuir et se réfugie, sous un faux nom, au cœur de la Mongolie extérieure. Elle devient « la Mongole blanche » parmi les pasteurs-nomades. Plusieurs années plus tard, elle regagne la France et publie son autobiographie « La Mongole blanche » qui rencontre un grand succès.

Pendant ce temps, Olivier combat en Afghanistan

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