Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/12/2012

J’apprends des grands auteurs

           L’écrivain en herbe que je suis relit les grands auteurs français, Balzac, Victor Hugo, Flaubert, Maupassant, voire Alexandre Dumas et Zola… Il ne s’agit surtout pas de copier « mes illustres prédécesseurs » mais d’étudier leur art du récit autant que de l’écriture. J’ai commencé par Le Père Goriot et comprend ce qu’en dit Giono, approximativement : « Avec Balzac, on découvre une région, dans cette région une ville, dans la ville un quartier, dans ce quartier un immeuble (je brode sans doute), dans l’immeuble un appartement, dans cet appartement des personnes… et c’est là que commence le roman de Flaubert ». Vingt pages pour décrire la pension Vauquer, cinquante pour faire la connaissance de ses hôtes, quatre-vingt pour entrer dans le vif du sujet… Peut-on instruire aujourd’hui notre jeunesse sans extraire des morceaux choisis ? Qui lit encore du « roman littéraire » ? Pourtant la plume est là, étudiée, précise. C’est un chef-d’œuvre. Je me pose des questions sur le rythme, qui me paraît coller avec mes propres habitudes : démarrage lent, accélération progressive et final enlevé jusqu’à l’ouverture sur le futur : « Il lança sur cette ruche bourdonnante un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et dit ces mots grandioses : " À nous deux maintenant !" », formule si fameuse. Mais, car il y a un mais, je me suis demandé à plusieurs reprises (crime de lèse-majesté) si Balzac n’avait pas un peu bâclé la dernière partie. Il se débarrasse de Vautrin et de Mme de Beauséant, de la pension Vauquer. L’ignorant que je suis se demande s’il n’était pas payé à la ligne, ou si son éditeur de lui avait pas mis une forte pression sur les délais. Stendhal a bien écrit La Chartreuse de Parme (ou Le Rouge et le Noir) en trois semaines pour « honorer une commande ». En tout cas, la tension dramatique grandit tout au long du récit. J’en prends des leçons.

 

02/12/2012

Les Ouvrages

RETROUVEZ TOUS LES OUVRAGES DE CAMILLE VALLEIX EN CLIQUANT ICI

 

Carole la Mongole blanche

En ce mois de décembre 2008, Carole, accablée par le départ brutal d’Olivier, entame une longue et calamiteuse descente aux enfers, d’autant plus qu’il lui est impossible d’effacer les douleurs et les mensonges mis en lumière par l’enquête qu’elle a menée avec son compagnon. Il va falloir réapprendre à vivre après ce long été… Elle décide de partir.

L’auteur la conduit au travers de péripéties nombreuses, donnant à son ouvrage des allures de conte en raison de la diversité, de l’originalité et de la richesse des aventures et des rencontres. L’intérêt du lecteur est relancé régulièrement par la grande force de caractère et l’appétit de vivre très tonifiant de la jeune femme.

Carole ou la Mongole blanche est la suite de La Dame de Marvejols et reprend les thèmes chers à Camille Valleix : humanisme, générosité, recherche et questionnement philosophiques et religieux. Dans ce roman comme dans les précédents, le personnage se fait matériel d’expérience, essaie d’atteindre la sagesse grâce à ses apprentissages et aux enseignements qu’il tire de ses périples.

 

Camille Valleix a été successivement officier de marine, restaurateur, créateur d’un centre de formation, consultant international, directeur – fondateur d’un cabinet de conseil, de formation et de coaching, enseignant dans les grandes écoles de commerce.

D’une curiosité insatiable, il est allé à la rencontre des personnes et a toujours cherché à comprendre la marche du monde comme les relations entre les hommes et les groupes humains. Dans une énième vie, il s’attache à transmettre par l’écrit ce qu’il a expérimenté et appris.

 

Olivier et les Maîtres du monde

Olivier Bayron arrive à la gare de Lyon, au retour de quatre
années passées à la Légion étrangère. Son projet n’a pas
changé : faire partie d’un gouvernement mondial, seule
solution pour sauver la planète. Intelligent, rapide, actif, il
réussit tout ce qu’il entreprend, depuis la création
d’entreprise jusqu’aux négociations au plus haut niveau
politique, national ou international. Cependant il ressent
parfois une gêne qu’il n’arrive pas à identifier et qui, peu
à peu, le conduit à une dépression profonde. Ce qu’il voit
ne lui convient pas. Où se trouve donc la solution ? Peutêtre
pas dans ce qu’il avait imaginé…
La clef se présente à lui quand il découvre le livre écrit
par la jeune femme à l’origine de son aventure militaire : La
Mongole blanche. Il cherche à la retrouver ; c’est le début
d’une nouvelle vie.
Dans ce dernier volet de la trilogie Comme le temps
passe…, l’auteur reprend les thèmes qu’il affectionne : le
travail psychologique qui mène à la construction de la
personne et à la recherche de la sagesse.
L’intérêt psychologique se double ici d’une solide
réflexion sur les mécanismes géopolitiques et humains, ce
que laisse entendre le titre Olivier et les Maîtres du monde.
Camille Valleix montre dans cet ouvrage sa curiosité mais
aussi son goût pour l’étude et la compréhension du monde.
Il souhaite que ce texte, qui s’inspire sans nul doute du
monde contemporain mais demeure une fiction, apporte au
lecteur des éléments de réflexion. Son désir de transmettre
aura alors abouti.

 

La Traversée de la Penfeld

Romain entre à l’École navale en cette année 1965 après deux années de préparation à Saint-Louis. Il découvre avec émerveillement un univers totalement nouveau et relate ses découvertes à ses proches restés à Paris. Roman épistolaire, roman d’apprentissage, Le Temps de l’Innocence émeut souvent, bouleverse parfois, mais l’humour n’est pas absent du regard que le héros porte sur lui-même.

Arrive l’accident, l’épreuve et avec elle Le Temps de l’Épreuve.

À Recouvrance complètera la trilogie en narrant le nécessaire travail de reconstruction d’un jeune homme et de son colocataire atteints tous les deux par une infirmité.

Un texte qui fait réfléchir, à travers des rituels d’initiation et des ruptures, sur le passage à l’âge adulte, mais aussi sur la vie, par les joies et les doutes confiés en direct par l’auteur.

A Recouvrance

En 1965, Romain Teullac intègre l’École navale et découvre avec délectation sa nouvelle vie hors du cocon familial. C’est le temps de l’innocence.

Un grave accident met fin à ses études et le place face à lui-même, à sa fragilité, aux conditionnements dont il a été imprégné. C’est le temps de l’épreuve.

À Recouvrance, troisième volet de la trilogie La traversée de la Penfeld, évoque sa reconstruction ainsi que celle de son infortuné compagnon.

Traverser la Penfeld, c’est d’abord le choix d’habiter le quartier de Recouvrance, de côtoyer des types de personnages nouveaux, différents et bien éloignés de son univers d’origine. Si Romain n’a que vingt ans, la confrontation avec son handicap et celui de son ami Jean-Yves lui donne les bases de la réflexion et de l’éclosion vers la maturité. Dans cet ouvrage, au gré des expériences qu’il s’autorise en enfant de son époque, il livre ses doutes, révoltes et raisons de vivre en découvrant à la fois la violence et la douceur qui se partagent les relations humaines. Il s’étonne, se réjouit et n’échappe pas à quelques moments de désespoir mais grâce à la qualité de plusieurs rencontres, il commence son itinéraire spirituel en apprenant à aimer et à s’aimer authentiquement

Traverser la Penfeld, c’est donc aussi, dans la pensée de l’auteur, une métaphore : le jeune héros a réussi à traverser le fleuve qui devait le mener à la mort. Il s’agit alors pour lui de se battre avec courage et lucidité contre la douleur, l’injustice et les absurdités pour renaître ; de s’ouvrir au monde et aux autres pour atteindre la connaissance.

 

La Dame de Marvejols

Il s'agit là du premier volet d'une deuxième série : Comme le temps passe !

"En revenant pour les vacances, ses diplômes en poche, dans sa ville natale, Cherbourg, Carole ne sait pas quelles découvertes l'attendent. Plusieurs rencontres vont être déterminantes : celle d'Olivier d'abord, jeune homme promis à un brillant avenir politique ; mais surtout celle d'un passé mystérieux et d'une femme proprement effacée du monde des vivants. Au fil du texte, les deux jeunes gens mènent une enquête qui les conduit en Lozère et va bouleverser leurs vies… Ce roman tout en frôlements, frottements et heurts violents, semble une métaphore du chemin qui mène à la connaissance des autres et de soi."

À suivre aussi… Mes héros m'échappent et m'entraînent là où je ne pouvais pas imaginer, et même espérer, me rendre.

 

Carole la Mongole blanche

En ce mois de décembre 2008, Carole, accablée par le départ brutal d’Olivier, entame une longue et calamiteuse descente aux enfers, d’autant plus qu’il lui est impossible d’effacer les douleurs et les mensonges mis en lumière par l’enquête qu’elle a menée avec son compagnon. Il va falloir réapprendre à vivre après ce long été… Elle décide de partir.

L’auteur la conduit au travers de péripéties nombreuses, donnant à son ouvrage des allures de conte en raison de la diversité, de l’originalité et de la richesse des aventures et des rencontres. L’intérêt du lecteur est relancé régulièrement par la grande force de caractère et l’appétit de vivre très tonifiant de la jeune femme.

Carole ou la Mongole blanche est la suite de La Dame de Marvejols et reprend les thèmes chers à Camille Valleix : humanisme, générosité, recherche et questionnement philosophiques et religieux. Dans ce roman comme dans les précédents, le personnage se fait matériel d’expérience, essaie d’atteindre la sagesse grâce à ses apprentissages et aux enseignements qu’il tire de ses périples.

 

Camille Valleix a été successivement officier de marine, restaurateur, créateur d’un centre de formation, consultant international, directeur – fondateur d’un cabinet de conseil, de formation et de coaching, enseignant dans les grandes écoles de commerce.

D’une curiosité insatiable, il est allé à la rencontre des personnes et a toujours cherché à comprendre la marche du monde comme les relations entre les hommes et les groupes humains. Dans une énième vie, il s’attache à transmettre par l’écrit ce qu’il a expérimenté et appris.

 

À suivre !

Qui est Camille VALLEIX ?

Personne d’expérience,

qui a roulé sa bosse dans différents métiers et différents pays.

Est passé de l’exercice du commandement à la mer à la direction de restaurants, ce qui lui a permis de valider qu’il s’agit dans tous les cas de manager des hommes et des équipes.

Passionné par le transfert de compétences, il a créé et dirigé un centre de formation aux métiers de la restauration, puis un gros projet de  transfert de maîtrise industrielle entre la France et l’Indonésie, avant de consacrer ses forces et son expérience à accompagner le changement des organisations en France.

En fin de carrière professionnelle, il s’est particulièrement dévoué au coaching des équipes et des personnes.

 

Marié, quatre enfants et six petits-enfants, il aime les fleurs et son bureau.

Son premier roman policier a été commencé à l’âge de 10 ans, et il n’a jamais cessé d’écrire depuis. Il est grand temps qu’elle termine et publie les huit romans commencé et bien avancés !